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"Kill Your Darlings" : Couper ce qu’on aime (quand il le faut)
Quand on écrit, il y a toujours ce moment où une scène, une réplique, une idée nous semble brillante, émouvante. Et parfois, elle l’est vraiment. Mais ce n’est pas la question. La vraie question, c’est : est-ce que ça appartient à l’histoire ?
Parce qu’il faut toujours revenir aux fondamentaux : Qu’est ce qu’on raconte ? Comment le raconte t-on ?
« Kill your darlings », c’est ce rappel un peu brutal mais salutaire : on n’écrit pas pour empiler les belles scènes. On écrit pour
Déborah Braun
1 min de lecture
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