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Du danger de trop réécrire
On le sait, la première version n’est « qu’» une base. La réécriture est non seulement inévitable, elle est nécessaire. (Cela dit, si le premier jet est trop fragile, il s’effondrera sous le poids des corrections et il ne restera qu’un tas informe d'idées. Et aucune réécriture ne pourra rien sauver.)
 
Parmi les outils de réécriture les plus utilisés, et conseillés : le ciseau.
On coupe ce qui 


"Kill Your Darlings" : Couper ce qu’on aime (quand il le faut)
Quand on écrit, il y a toujours ce moment où une scène, une réplique, une idée nous semble brillante, émouvante. Et parfois, elle l’est vraiment. Mais ce n’est pas la question. La vraie question, c’est : est-ce que ça appartient à l’histoire ?
Parce qu’il faut toujours revenir aux fondamentaux : Qu’est ce qu’on raconte ? Comment le raconte t-on ?
« Kill your darlings », c’est ce rappel un peu brutal mais salutaire : on n’écrit pas pour empiler les belles scènes. On écrit pour
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